Douane suisse et café Blandin

Prise de l'emplacement exact de la frontière franco-suisse, cette photo  montre, à gauche, le café Blandin et, à droite, la douane suisse. L'un comme l'autre ont été détruits après les accords franco-suisses de 1957 et la construction de l'aéroport. Document Pierre-Etienne Duty / PED5

Prise de l’emplacement exact de la frontière franco-suisse, cette photo montre, à gauche, le café Blandin et, à droite, la douane suisse. L’un comme l’autre ont été détruits après les accords franco-suisses de 1957 et la construction de l’aéroport. Document Pierre-Etienne Duty / PED5

La frontière après la Libération de 1944. Devant le bistrot-épicerie de M. Blandin se mêlent deux aviateurs américains autorisés à quitter la Suisse ù ils étaient internés, un douanier suisse et un douanier français ainsi que quelques Ferneysiens (Pierre et René Grenier, René Pusterla, Jean Viens...). La frontière, fermée pendant quatre ans, vient de réouvrir. On distingue, de part et d'autre du groupe, les lourdes portes qui, pendant toute la guerre, ne s'ouvraient que pour laisser passer... le camion du lait. (Collection Pierre Grenier)

La frontière quelques jours après la Libération du Pays de Gex en août 1944. Devant les barrières se mêlent deux aviateurs américains autorisés à quitter la Suisse où ils étaient internés, un douanier suisse et un douanier français ainsi que quelques Ferneysiens (Pierre et René Grenier, René Pusterla, Jean Viens…). On distingue, de part et d’autre du groupe, les lourdes portes qui, pendant toute la guerre, ne s’ouvraient que pour laisser passer… le camion du lait. Pendant la guerre, le café Blandin était resté fermé, faute de clients. Il ne va pas tarder à rouvrir. (Collection Pierre Grenier / PGR107)

A la Limite, le café Blandin dans les années 50. Chez Blandin, installé sur le territoire suisse, les Ferneysiens trouvaient tout ce qui ne se trouvait pas encore (ou beaucoup plus cher) en France: tabac, café, porto, conserves, glaces et friandises. Dur la droite, on distingue l'îlot central de la douane suisse et, au-delà, la route vers le Grand-Saconnex. Document Alex Décotte. ADEC004

A la Limite, le café Blandin dans les années 50. Chez Blandin, installé sur le territoire suisse, les Ferneysiens trouvaient tout ce qui ne se trouvait pas encore (ou beaucoup plus cher) en France: tabac, café, porto, conserves, glaces et friandises. Dur la droite, on distingue l’îlot central de la douane suisse et, au-delà, la route vers le Grand-Saconnex. Document Alex Décotte. ADEC004

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