Ecrivain célèbre mais éternel fuyard, Voltaire avait dû se réfugier à Londres, puis à Cirey chez Emilie du Châtelet, puis à Potsdam auprès de Frédéric de Prusse, puis à Genève où ses « Délices » n’eurent qu’un temps : on ne joue pas impunément le théâtre dans la cité de Calvin… Loin des calvinistes et plus loin encore des soldats du roi de France, Voltaire finit par jeter son dévolu sur une pauvre bourgade, à deux pas de Genève mais en territoire français : Fernex.
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