En 1815, lorsque le Grand-Saconnex devint commune genevoise, on traça les démarcations de la limite frontalière par des bornes de pierre, encore visibles aujourd’hui.
Un siècle plus tard s’ouvrirent deux cafés et, dès 1945, on vit se côtoyer au Capucin Gourmand les grands de ce monde et les humbles habitants du quartier.
Julien Jacquot, ancien douanier, décrivait l’atmosphère de l’époque : «Après la guerre, la région était tranquille. Les gens allaient volontiers au Café de la Limite, chez Blandin, l’épicerie du côté suisse, pour en rapporter un peu de sucre, du tabac, des bas nylon passés en fraude, mais rien de grave. Durant les patrouilles de nuit, avec nos souliers cloutés et nos cigarettes, on devait nous repérer de loin !»

La douane française au début des années 50 / Fa ARE701s

Entre douane et Capucin Gourmand, le chalet du Touring Club / Fb FSA036m

Le pont sur le Vengeron et la douane suisse / Fc GMY5_0199

Importation d’essence et exportation de devises… / Dessin de Vauban

Côté suisse, le café de la Limite, « Chez Blandin » / Fg Blandin_0002s
Julien Jacquot, ancien douanier, décrivait l’atmosphère de l’époque : «Après la guerre, la région était tranquille. Les gens allaient volontiers au Café de la Limite, chez Blandin, l’épicerie du côté suisse, pour en rapporter un peu de sucre, du tabac, des bas nylon passés en fraude, mais rien de grave. Durant les patrouilles de nuit, avec nos souliers cloutés et nos cigarettes, on devait nous repérer de loin !»

Un douanier suisse et sa femme / Fh GRS5_0026 DSCN0193s

L’inspecteur de police, la fouilleuse et les douaniers / Fi FRR5s

La brigade au grand complet / Fj GHE5_0008

Georges Heffner, diplômé des Douanes / Fk PGR021w

La nouvelle douane à la fin du siècle / Fl NB35137_0001
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