Agriculteur à Moëns, Robert Borboën était venu de son canton de Vaud natal dans les années 20, alors que la crise sévissait en Suisse et que la France, saignée à blanc par la guerre, avait besoin de bras.
Robert Borboën fut aussi, jusqu’à ses derniers jours, un habitué de Ferney grâce à sa belle Renault Juvaquatre, qui lui permettait de venir quotidiennement au café du Soleil et d’en repartir, plus ou moins frais, en évitant – si possible – de renverser les piliers protégeant la statue de Voltaire…
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