Tous les Ferneysiens connaissaient son visage, sa gentillesse… et sa Motobécane. Bernard est parti comme il avait vécu: en toute discrétion. Gageons qu’il est déjà arrivé au paradis des motards.
Tous les Ferneysiens connaissaient son visage, sa gentillesse… et sa Motobécane. Bernard est parti comme il avait vécu: en toute discrétion. Gageons qu’il est déjà arrivé au paradis des motards.
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